Les confinements successifs semblent avoir servi de déclencheur. De nombreux salariés ont pris du recul sur leur travail. Aux États-Unis, le phénomène « Great Resignation » (grande démission) a été brutal. En France, où les emplois ont été protégés, il reste limité. En revanche, la démission qui ne dit pas son nom (le « quiet quitting ») fait un tabac sur les réseaux sociaux. Mais le travail n’a pas dit son dernier mot.